mardi 25 décembre 2007


J'avais tant à écrire, mais plus internet depuis un temps conséquent. D'où ce foutu retard dans le déballage de mes aventures. C'était de saison pourtant, l'empaquetage, déballage, et autres variations avec papier brillant et ruban rouge.
J'avais
vu ma ville comme le plus gigantesque des clichés, sans réaliser qu'elle en jouerai plus encore à Noël. On se croirait dans un grand jeu de rôle où chaque PJ joue de son 10 en mimétisme pré-déterminé pour prouver que tralala pouet pouet, il voit forcement la vie en rouge, blanc, flocon, brillant, Santa et jingle bells. Depuis un mois déjà, j'avais pu discerner des murmures montant de l'eglise a côté (une des églises a côté pour dire vrai, je vis en esprit de sainteté), ils répétaient les chants de Xmas , je les entendais quand parfois le soir j'étais au salon sans musique à fond. Dans la ville partout, c'était ces mêmes refrains aussi, versions originales ou remixées pour les plus hype, hispanisées pour coller aux quartiers, sans lyrics dans les rues pour faire chantonner le plsu grand nombre. Quand une rue crowdy prend des airs de chorales, que tout le monde susurre des parolesqui viennent du plus profond.

Donc oui, j'avais tout ça, Noël est bien sur histoire d'avoir, ici aussi. Mais l'avoir est part de culture, et a travers leurs efforts consuméristes et scintillants, Noël devient comptine des êtres. Quelquechose de vrai.

Alors, d'abord, avant qu'elles ne soient périmées, quelques extraits d'esprit de Noël NYais, en concentré ...




2 commentaires:

Maëlle a dit…

ca a l'air d'être un truc de fou NY à Noel.J'espere que tu t'es laissé un peu allerà l'esprit des fêtes. ca peut paraître hypocrite ou gnagna mais ca faitdu bien quand même!!:)

Anonyme a dit…

Parisieene profitant de newyork en cette fin d'annee, j'aterris ici apr hasard et retrouve ici bien l'ambiance qui s'en degage.
Ah ils savent ce que c'est la fete ici!
thxs